Histoires de Cor; La naturiste involontaire

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Cor
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Inscription : 08 sept. 2014, 17:52

Histoires de Cor; La naturiste involontaire

Message par Cor »

Salut, chers amis.

L'histoire d'aujourd'hui est de la plume... ou plutôt du clavier de Lordship Mayhem, l'auteur de la majorité des histoires traitant de l'équipe de natation de l'école Saint Dunstan que nous venons de terminer. Son but était de créer une image mentale très explicite en n'utilisant qu'un dialogue entre deux personnes. Vous serez d'accord avec moi qu'il a admirablement réussit l'exercice.

Demain, donc dimanche, nous commencerons une nouvelle série d'histoires, celle-ci également majoritairement érite par Lordship Mayhem quoiqu'ici aussi je me suis encore permis d'y insérer mon grain (ou deux) de sel... Tiens, non... j'ai changé d'idée.

Plutôt que de commencer une seule histoire, je vais en commencer deux en même temps. Je m'explique... La cinquième histoire de cette série de Lordship Mayhem (il y en a six en tout) est une histoire écrite par moi où plusieurs personnages des deux 'univers' se croisent. Or, d'après moi, les interactions entre ces deux groupes ne seraient compréhensibles si vous n'êtes pas 'au fait' avec le déroulement des deux univers. Si tout fonctionne comme je l'espère, nous aurons tout juste terminé la première histoire écrite par moi au moment de commencer l'histoire "inter-univers" de la série de Lordship Mayhem.

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Titre d’origine ;
Involuntary Naturist
Par Lordship Mayhem
D’après une idée originelle de Lordship Mayhem
Paru en premier sur le site ‘storiesonline dot net’ en 2010
Traduit par Cor van de Sande en 2012
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La naturiste involontaire

Le téléphone sonna.

« Allo ? »

« Beth, c’est Joanne. »

« Salut, Joanne. Comment va la ville ? »

« Pas pire, Beth… En fait, ça pourrait être mieux ; il fait beaucoup trop chaud. Comment ça va à ta colonie de nudistes ? »

« Nous préférons ‘centre naturiste’. Tout va pour le mieux ici, les enfants s’amusent comme des fous. Oh, et Nancy dit qu’elle s’ennuie de ton fils Billy. Je crois qu’elle est en amour avec lui, mais ne laisse pas voir à l’une et à l’autre que tu sois au courant. »

« Oh, bon, il dit qu’il s’ennuie d’elle également. Dis, est-ce qu’on pourrait faire un tour chez vous pour quelques jours ? »

« Oui, certainement… mais je ne comprends pas. Que fait-il que tu veux venir ici ? Je croyais que tu étais une textile endurcie. »

« Bien, tu sais comment Rod a voulu que nous allions tous te visiter après il ait su que ta famille soit nudiste… »

« Oui ? »

« Et comment lui et les jeunes s’étaient amusés le mois dernier quand ils sont venus… »

« Oui ? »

« Et comment il essaie depuis ce temps de me convaincre de venir avec lui la prochaine fois… »

« Oui ? »

« Bien, je viens juste de raccrocher avec lui et Rod croit que ce serait une bonne place pour nous en attendant qu’il revient de son voyage d’affaires… »

« Bon. Et… ? »

« Il sera de retour le jour après demain. »

« Bon, d’accord… Il y a quelque chose que tu ne me dis pas. »

« Et nous devons laver tout notre linge pour arriver à chasser cet odeur de fumée. Euh, Beth, vous avez bien des machines à laver, là-bas ? »

« Oui, nous avons quand même à laver des draps et des serviettes – t’as dit fumée ? »

« Oui. Bien, après le feu, nous avons besoin d’un endroit pour rester, genre. »

« ‘’Feu’ ? »

« Après tout, il a la dernière carte de crédit qu’il nous reste sur lui --. »

« Un FEU ? Euh… où sont tes cartes à toi ? »

« Dans ma sacoche »

« Dans ta sacoche ? »

« Qui est dans la chambre à coucher… »

« Et… ? »

« … Qui est dans le sous-sol. »

« Ta chambre est au deuxième. »

« Plus maintenant. Et le toit est aussi dans le sous-sol. »

« Le toit… est au… sous-sol… »

« Et le seul linge que nous avons est ce que nous portons actuellement. »

« Donc vous avez besoin d’un endroit amical où vous pourriez rester en tenue de peau en attendant que votre linge soit lavé, c’est ça ? »

« C’est à peu près ça, oui. » < Pause > « Beth, tu n’auras pas à te soucier pour des sacs de couchage. Nous avons quatre sacs et une tente dans le garage et le garage a survécu – étant donné qu’il n’était pas attaché à la maison – et la voiture également. Tout le monde va bien, personne n’a été blessé. C’est juste… que j’ai vraiment besoin d’une amie en ce moment. »

« Je comprends et je suis là pour toi. Allez, Joanne, traîne tes fesses blanches ici à l’instant pour un peu de dorlotement et une trempette dans le spa du centre. Quand t’auras finie avec le spa, tu pourrais tout me raconter. Je t’aurais préparé une bonne tasse de thé chaud, des serviettes propres et du crème solaire facteur 40. En plus, Il y a assez d’espace dans notre caravane pour quatre adultes et cinq jeunes, mais les garçons préféreraient peut-être la tente pour son aspect ‘aventure’. Tu aurais besoin de directions pour te rendre jusqu’ici, je crois. As-tu un stylo et du papier ? »

« Un instant, je vais en emprunter à ce gentil policier. »

« Policier ? Joanne, quand est-ce que ta maison a brûlé ? »

« Elle est encore en train de fumer. Les pompiers sont à inonder le sous-sol avec de l’eau en ce moment. Ils ont réussit à sauver ça, au moins. »

« Ha, ha… très drôle. Ça doit être la plus vieille blague de pompier en existence. Arrange-toi d’être ici pour le souper. Euh… conduits prudemment. »

… Et c’est comme ça que moi, Joanne Manley, enseignante d’école primaire de 32 ans, marié à un amour de gérant de production de 35 ans et mère d’un garçon de 8 ans et une fille de 6 ans est devenue naturiste involontaire. Ce fut un triste début mais c’est devenu la plus heureuse été à ce jour – mon premier été libre de vêtements.

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