Puberté

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bobettebob
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Puberté

Message par bobettebob »

Ceci est une traduction d'un conte mais, malheureusement, j'ai perdu la source

Désolé d'avance pour ce long message. En phase de recherche de bonnes histoires pour un sujet que j'ai récemment lancé, je suis tombé sur un forum du type "courrier de", américain de toute évidence. Là-bas, des situations inconfortables, on connaît ça. Puisque ça affecte autant les familles textiles que les familles naturistes, j'ai pensé que ce serait pertinent de le poster ici. Je vais essayer d'expliquer la situation du mieux que je peux, tout en gardant un niveau de maturité.

La lettre se lit comme suit :
« Je suis un ado de 14 ans, je vis avec mes soeurs jumelles de 17 ans et une soeur de 15 ans, on vit avec notre mère monoparentale. Puisque je suis le plus jeune, mes soeurs me voient comme le "petit frère" et je ne suis pas certain qu'elles réalisent que je deviens un peu plus mature. Comme si leur petit frère était un bibelot, elles ne se gênent pas de parader dans la maison au naturel ou en string et brassière. Elles parlent aussi ouvertement de leurs cycle menstruel en ma présence et c'est la dernière chose que je souhaite entendre en mangeant mes céréales. Similairement aux autres messages du forum, voir mes soeurs ainsi font réagir mon corps et c'est totalement honteux parce que t'es pas supposé avoir de tels réactions envers tes soeurs. Et je ne peux évidemment pas en parler avec ma mère ou mes soeurs.

Elles partagent toutes les trois une grande chambre à coucher et une salle de bains, si elles veulent parader nues et parler de sujets de femmes, elle ont juste à le faire là et fermer la porte sans s'exposer à moi. Mais je ne sais pas trop comment faire pour leur expliquer la situation sans admettre mes... uhm, sentiments. Signé, pus le p'tit frère. »

Une réponse racontait une histoire un peu similaire. Le seul jeune homme de 15 ans dans la maison avec mère et sœurs, mais cette fois-ci, ses sœurs s'enferment dans leur chambre pour se changer, c'est leur mère, qui est en bonne forme, parade nue dans la maison plusieurs fois. Ça ne dérange pas ses sœurs, parce que, entre femmes, mais lui, ça devient insupportable.

D'autres petites histoires s'y joignent dans le même sens, les demi-sœurs ou les demi-frères en visite.

Les réponses suivantes expliquent ce qu'on sait tous, un moment dans la puberté d'un homme où la vue de la nudité du sexe opposé, aussi banale soit-elle, peu importe qui, même si c'est immoral, fait réagir le corps, alors que les autres dans la maison se disent que c'est ok, c'est notre « petit frère », il nous a déjà vues des milliers de fois. Dormir nue, pourquoi s'habiller pour aller aux toilettes ? Finalement, l'une d'entre eux a raconté qu'un moment donné, leur petit frère s'est manifesté, « pété une coche » comme on dit, en disant à quel point ça l’embarrasse, ça le rend inconfortable et ce sentiment de honte. Depuis, ses soeurs et sa mère font attention lorsqu'il est à la maison, et ça leur a ouvert les yeux, réalisant que leur petit frère deviendra un homme. Un peu plus loin, une lectrice a expliqué qu'à sa maison familiale, c'était commun pour elle et son petit frère de faire le trajet entre sa chambre et la chambre de bains flambant, mais lui, il a arrêté de le faire au début de sa puberté et a recommencé à ses 17-18 ans, alors qu'elle, n'a pas arrêté. Comme quoi, chacun agit et réagit différemment.

Dans les autres messages...
- Pour l'une d'entre elles avec ses deux demi-sœurs, il n'y a aucun problème à se changer entre filles, mais ça devient malaisant lorsqu'on est simplement nus durant une longue période, dans un contexte "à la maison".
- Une adolescente est maintenant mal à l'aise devant son papa qui se promène nu dans la maison. Et lorsque papa cogne à sa porte et vient s'asseoir sur son lit pour lui demander ce qu'il se passe... euh...

Votre puberté a-t-elle été aussi difficile ? Ou celle de vos ados ? (Mentionnez si vous avez été élevés dans une famille naturiste ou textile).
Dernière modification par bobettebob le 28 nov. 2016, 15:02, modifié 1 fois.
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roger
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Re: Puberté

Message par roger »

On peut dire que ma famille était tout le contraire de naturiste. Chez nous la pudeur était une vertu cardinale. C'est mon frère ainé qui a parti le bal chez nous. Pour ce qui est de la gêne devant des proches, je n'ai jamais rien ressenti de pareil. Moi, ce qui me dérange le plus, c'est d'être nu devant des gens habillés. Il y a quelques années, j'étais allé à la piscine à vague à Ottawa. Au moment de partir, un père et ses deux garçons étaient rhabillés mais se tenaient devant les casiers. J'ai éprouvé une certaine gêne de demander à ces gens de se tasser.
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bobettebob
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Re: Puberté

Message par bobettebob »

roger a écrit :On peut dire que ma famille était tout le contraire de naturiste. Chez nous la pudeur était une vertu cardinale.
Même chose ici. Tous les enfants de moins de 7-8 ans ont cette insouciance avant/après le bain, mais ça change lorsqu'ils gagnent en maturité. Moi, après la phase pyjama imposé par maman, j'ai toujours dormi en bobette à mon jeune âge.

Notre petite ville et ses deux écoles n'ont pas de piscine, des douches dans les vestiaires ne servaient que pour les visiteurs sportifs ou en cas d'hébergement temporaire après catastrophe, j'ai donc jamais eu l'expérience de douche commune. Étant victime d'intimidation, me changer au vestiaire me décourageait, et j'avais pas l'esprit sportif. Durant ma 4e et 5e année du secondaire, j'avais l'oeil sur une jolie blonde "out of my league"... et elle le savait. Même si une rose a des épines, ça ne t'empêche pas de trouver ça beau. Quelle torture !!! Maudit que ma puberté a été pénible.
roger a écrit :Moi, ce qui me dérange le plus, c'est d'être nu devant des gens habillés.
Tout est dans le contexte. Ton meilleur ami qui commence à jaser avec toi pendant que t'es sous la douche ou que tu t'essuies, assez ordinaire. Qu'un petit groupe d'inconnus habillés semble attendre quelqu'un dans les vestiaires, les yeux sur les douches communes mais qu'il y a déjà eu 2 cycles, hmmm, suspect. Caméra cachée sur sa personne ?

...

Ceci est une traduction d'un conte mais, malheureusement, j'ai perdu la source

Le "ben voyons donc" de ma lecture d'hier :

« Ma soeur et moi, entre filles, on se baigne nues dans la piscine durant les nuits de chaleur, et on invite aussi nos amies. Notre mère s'est récemment remariée et on a invité notre demi-soeur à nous rejoindre au naturel dans la piscine, ce qu'elle a fait sans hésitation. Nous avons 16 et 15 ans, elle a 13 ans. On se partage toutes les trois la même chambre et on peut se changer sans problèmes. Elle l'a mentionné à sa mère, qui en a conclut que notre famille est déviante. Elle insiste que se baigner nue entre filles va la virer lesbienne, et pense qu'on est une bande de gaies pour corrompre sa fille de cette façon. Notre demi-soeur doit désormais coucher sur le divan et se changer dans la salle de bain, même si elle préfèrerait partager notre chambre. Cette idéologie de la virer "gaie" est totalement stupide. Si voir d'autres filles nues rendraient gai, il y aurait beaucoup trop de lesbiennes dans ce monde. »

Euh, c'est que, c'est pas comme ça que ça marche... Une des réponses géniales a été de l'inviter à visiter une plage naturiste, s'il y a des couples hétéros qui se tiennent par la main en sortant de l'eau, pourquoi ne sont-ils pas gais ? Nous sommes nés ainsi : straight, gai, ou bi.
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bobettebob
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Re: Puberté

Message par bobettebob »

Ceci est une traduction d'un conte publiée à l'origine par quelqu'un qui s'est signé N4490L -
http://w11.zetaboards.com/Nude_Sleepers ... &t=8031066


Relancer un éternel débat...

Histoire, traduite de l'anglais :
« Mon travail au New Jersey me faisait parfois voyager à la maison-mère dans une ville située en Allemagne près de la Suisse. L'un de nos ingénieurs allemand qui voyageait parfois aux États-Unis (avec qui on a pris quelques bières après le travail) m'a invité à être hébergé chez lui pour ma première visite. Il a cinq enfants, la plus vieille environ 15 ans, le plus jeune 7 ans, et une autre fille d'environ 9 ans. C'était donc l'heure du dodo, ils sont descendus tout nus, sauf la plus vieille qu'un t-shirt, pour venir dire bonne nuit à leurs parents. J'ai trouvé ça bizarre au premier coup, mais j'ai décidé de ne pas poser de questions à mon hôte.

De retour aux États-Unis, mon collègue que je remplaçais cette fois-là pour le voyage m'a demandé ce que j'en pense de "Klaus et sa famille". Lorsque j'ai mentionné le comportement des enfants, il m'a répondu « Alors, tu sais qu'ils sont FKK ? ». Il m'a ensuite mentionné que leur fille a probablement mis un t-shirt ce soir-là par modestie par présence d'un nouveau visiteur, inconnu pour eux et la famille, autrement, ils sont à leur aise lorsqu'il y est présent. Il est aussi parfois invité à la cabine de Klaus dans les montagnes équipé d'un sauna... »


Question 1 : Dans votre maison naturiste/nudiste, demanderiez-vous à vos enfants en puberté de rester habillé en présence d'invité(s) international pour la première fois avant d'aller se coucher ? "Ils sont chez eux, ils feront comme bon leur semble" versus "On a des invités, il faut être un bon hôte" ?
Question 2 : Imaginez cette même situation, maison FKK en Allemagne, maintenant transposée dans une maison naturiste au Canada. Même résultat ? Ou la situation serait-elle jugée "normale" en connaissance de cette "culture géographique" ?
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roger
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Re: Puberté

Message par roger »

A la question 1, je répondrais que je resterai habillé devant des invités. J'ai eu, il y a quelques années, le problème. J'avais invité une amie durant mon séjour à Paris. Elle savait que j'étais naturiste. Son premier geste en arrivant, ce fut de m'offrir une robe de chambre, le message était clair mais comme je lui ai dit, ce n'est pas dans mes habitudes de gêner les gens qui ne partagent pas mes idées. Je n'avais pas l'intention de faire de l'exhibition devant elle.
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bobettebob
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Re: Puberté

Message par bobettebob »

Ceci est une traduction d'un conte publiée à l'origine par Julie
http://bestembarrassingstories.blogspot ... -camp.html


Adolescente au camp de nudistes

Nos parents étant nudistes, on y allait tous les ans. Désormais plus grandes, nos parents ne nous obligeaient pas, ma petite soeur Sarah et moi, de se promener nues au camping, quoique ma soeur s'en foutait. Cet été-là, j'étais encore plus consciente à propos des garçons ainsi que de mon corps.

Au cours des deux premiers jours, j'avais repéré ce joli jeune homme qui se tenait près de la piscine, et ma place au camp était choisie ! Curieuse, je me questionnais si ce que les garçons ont entre les jambes flottent dans l'eau de la même façon que les seins de ma mêre... passons...

Le bas des chutes s'ouvre une grande piscine naturelle où les ados plus âgés et jeunes adultes se tiennent. Dans les montagnes, entouré de la faune et les rochers, on ne pouvait trouver mieux. Bref, au troisième jour, moi et ma soeur avons décidé d'explorer ces lieux. Elle est sortie nue et moi avec mon maillot comme d'habitude. Arrivée sur les lieux se trouvaient ces ados et jeunes adultes, tous des hommes, et quelques petits enfants. Je me sentais un peu embarassée pour ma soeur qui était la seule de son groupe d'âge, mais confiante à son habitude, elle est allée jouer avec les autres comme si rien n'était. Jouant toute nue avec les garçons, équipée de palmes, masque et tuba, elle avait plus de plaisir que moi dans ce paradis. Et moi ? Mes seins sont en développement, j'étais donc modeste et inconfortable de me montrer nue devant les garçons, c'est pourquoi je porte ce maillot une pièce.

Environ une heure plus tard, nos parents sont venus nous rejoindre. Ils sont pas mal cool, mais ma mère a parfois un tempérament lorsqu'elle est impatiente ou qu'elle doit se dépêcher. Malgré tout, je ne me sentais pas confortable de nager près d'eux, je nageais alors près des garçons, contraire à mes habitudes. Quelques heures plus tard, c'était le coucher du soleil, ma mère nous dit que c'est le temps de rentrer et aller souper. Ma soeur réplique « Oui, allons chauffer quelques saucisses sur le feu », ce qui m'a fait rougir. Les garçons nudistes restants ont chacun montré leur... ahem, saucisse, en guise de bonne blague.

J'étais encore la seule personne ici à porter un maillot. Un coup de vent frais annonçant la fin de la baignade, mes parents et ma soeur sont sortis de l'eau pour se sécher. Ma mère dit « Julie, sort de l'eau, c'est l'heure du souper ». Je pouvais prédire que ma mère veut que j'enlève mon maillot pour me sécher pour ne pas attraper froid, mais puisque j'avais initialement planifié de me déplacer avec ma soeur à la piscine principale au cours de la journée, je n'ai pas apporté de linge de rechange.

Me voilà dans cette situation, tous les garçons attendent pour voir ce qui va se passer, mais je ne désire pas qu'ils me regardent lorsque ma mère m'obligera à enlever mon maillot mouillé, et j'étais nerveuse, donc, j'ai fait à ma tête et fait attendre ma mère. Mon père et ma petite soeur étaient déjà en direction de la roulotte, c'était plutôt cute de voir une grosse et petite paire de fesses disparaître à l'horizon en se tenant la main.

Ma mère crie à nouveau « Julie, sort de l'eau, on doit aller souper ». Mais j'ai agi comme si j'avais froid en lui faisant signe d'aller souper sans moi. Je pensais bien qu'elle allait finir par s'en aller pour que je puisse sortir tranquillement, mais le pire scénario que j'imaginais s'est matérialisé. Soudainement, ma mère crie toute enragée : « Viens ici immédiatement, jeune fille ». J'ai pas eu l'choix de faire tel que demandé. « Julie, enlève ce maillot pour que je puisse t'essuyer ». Encore une fois, mes plaintes continuelles ne m'ont pas aidée. « Mais maman, tous les garçons sont là, ils vont voir mon entre-jambe » et tout bas, en confidence « Maman, on va voir la ficelle de mon tampon ». Ça l'a rendue encore plus furieuse !

« Julie, tout le monde s'en fout que tu portes un tampon! » a-t-elle crié. « De plus, tu ne devrais pas t'en faire si on la voit, c'est naturel », quoique dans mon esprit, elle avait tort. Peu importe ce que je faisais n'avait aucune importance. Sans hésitation, ma mère baisse les bretelles du maillot sur mes bras, et descend le tout par terre. Me voilà, toute nue, la ficelle du tampon en évidence devant ces garçons, qui regardent attentivement la scène de ma mère. Elle m'essuyait comme une femme enragée pendant que j'étais mortifiée de honte.

« Julie, penche-toi pour que je puisse essuyer ton derrière » dit-elle aussi bêtement. Assise sur le banc, elle me fait coucher le ventre sur ses cuisses, comme un bébé, les garçons ayant une vue directe à mes fesses ! C'est comme si elle avait fait exprès pour m'humilier afin que les garçons puissent voir mon tampon. OMG ! À peine terminé, ma mère me donne deux bonnes tapes sur les fesses « Julie, emmène ton petit cul à la roulotte, maintenant », tenant mon maillot dans sa main comme un prix, devant le regard des garçons.

Je n'ai jamais été aussi prise de honte de ma vie, embarassée, déshabillée, tapée sur les fesses et mon hygiène féminine exposée par ma mère devant un groupe de garçons. Me voilà en train de courir vers la roulotte, toute nue, rien d'autre que ma dignité. J'étais tellement humiliée que j'en ai pleuré durant la nuit.

Le lendemain matin, j'étais plus relaxe. Je me suis dit qu'après cet épisode humiliant, ça ne peut pas tomber plus bas, donc pourquoi pas aller me baigner toute nue, moi aussi, maintenant qu'ils m'ont vu. La ficelle du tampon dépasse ? Aucun problème, admirez ! Et vous savez quoi ? Les garçons nudistes qui ont assisté au spectacle hier soir sont tellement des gentlemen, tellement polis. Au moins, ils ne payaient pas plus attention à la ficelle du tampon qu'au fait que je suis là à nager toute nue avec eux.

PS: J'ajouterais que le maillot dans un centre naturiste lui faisait un carapace symbolique, l'isolant des autres. Le texte a été rédigé par l'adolescente (enfin je crois) sur un forum de moments embarassants et traduit de l'anglais par mes soins. J'ai dû abréger quelques passages.
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bobettebob
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Re: Puberté

Message par bobettebob »

Ceci est une traduction d'un conte anonyme publiée à l'origine à
http://gilsnow.theolddub.com/Naturist/n ... othed.html


La Visite

Nous sommes vers la fin de l'hiver, il fait encore froid, neige au sol, et j'étais condamné à la maison pour trois jours, infecté par la rubéole. J'allais célébrer mon treizième anniversaire l'été prochain.

Me sentant irritable, sans énergie, mon frère Butch de cinq ans mon cadet n'aidait pas à mon humeur. Dans sa sagesse, ma mère décide de nous séparer avant le début d'un autre match de lutte dans le salon. Elle a envoyé Butch regarder la télé dans notre chambre partagée, et moi dans la chambre des parents pour me reposer. Mon médicament prescrit était supposé causer de la somnolence mais ça ne semble pas aider à mon repos. Ma mère a quand même insisté de rester dans leur chambre pour éviter mon frère.

Seul dans la chambre de papa et maman, cherchant quelque chose pour passer le temps, j'ai consulté la bibliothèque située à la tête du lit, et j'ai trouvé plusieurs magazines avec des photos de gens nus. Hommes, femmes, garçons et filles, sans aucun vêtement. C'était les publications nudistes Sun Era et Sunshine and Health. Après avoir vu toutes les photos, j'ai commencé à lire les articles. Tout le monde dans les magazines ont l'air joyeux en faisant des activités comme le camping, la nage, jouer au volleyball, baseball, balle molle ou tout simplement relaxer, tout ce que j'aimerais faire, quoi !

Après cette journée-là, je me suis inventé plusieurs ruses pour aller dans la chambre de mes parents et lire ces magazines. Un jour, j'ai demandé à mon père s'il est membre du Alpine Lodge, le club nudiste le plus près d'ici en Ohio qui faisait partie du répertoire des magazines. Mon père a répondu non et m'a demandé c'est quoi, auquel je lui ai dit dans mon innocence de jeunesse « Je ne le sais pas, donc j'ai pensé le demander ».

C'est à ce moment-là que j'ai décidé d'écrire une lettre au club naturiste pour leur demander si je peux aller visiter l'instant d'une fin de semaine. Je voulais avoir du plaisir comme les garçons dans le magazine. Trois semaines plus tard en revenant de l'école, papa et maman préparaient la table pour le souper lorsque papa dit « Jim, t'as reçu une lettre d'Alpine Lodge ». J'ai rougi un peu et ouvert la lettre. Papa demande « Qu'est-ce que c'est ? ». J'ai dû avouer la vérité. La lettre était une invitation à visiter le camp pour le troisième weekend de mai, soit dans quatre semaines.

Je lui ai obligatoirement demandé si je peux y aller. Il a dit que si je veux courir tout nu, c'est mes affaires. Il m'a taquiné au cours des quatres semaines suivantes. À un certain moment, il m'a dit que je ne peux plus porter de vêtements dans la maison, et que je dois me déshabiller. Je ne l'ai pas fait, et j'ai rougi rien qu'à y penser. Ma soeur, un an plus vieille que moi, en a rit un bon coup. Mon frère était absent de la maison la plupart du temps et n'était plus au courant de ce qui se passait ici. Il s'est engagé dans la Marine et partira immédiatement après l'obtention du diplôme qui aura lieu dans une semaine. L'idée de me retrouver nu devant ma mère était un peu angoissant, mais devant ma soeur, alors là, c'est hors de question.

La veille de la visite, je commençais à regretter d'avoir envoyé la lettre. J'ai eu un peu de difficulté à m'endormir. Samedi matin, maman me réveille, c'est le temps de déjeûner avant de partir. Le plan pour le week-end est de me déposer au club nudiste qui se trouve par hazard sur le chemin vers des amis de la famille à Cleveland (ma soeur Wonda y va aussi), et revenir me chercher dimanche soir. Maman et Wonda étaient silencieux durant le déjeûner, pendant que papa insistait pour que je prenne de l'avance en me promenant nu dans la maison.

À l'extérieur, le temps étant agréable, papa a pris soin de baisser le toit du convertible avant de partir de la maison. Sur le chemin en quittant Columbus, je commençais à être nerveux. Il fallait me distraire en regardant par la fenêtre, empruntant l'autoroute, j'aperçois la verdure dans les arbres et les fleurs qui reviennent de la saison froide. En sortant de l'autoroute vers un chemin de campagne, je commence à avoir le tract, me préparant mentalement à dire à papa de retourner sur l'autoroute vers Cleveland où j'irais avec eux. Mais je voulais vraiment être comme les garçons et les filles du magazine, jouer tout nu sous le soleil... mais pourquoi ma soeur devait être là avec nous ?

Arrivée à destination, une entrée de gravel mène à une guérite, précédée par un intercom. Papa appuye sur le bouton, un homme est venu ouvrir la guérite et l'auto est conduite à l'aire de stationnement. On aperçoit une pancarte « Zone nudiste à partir d'ici ». Jour J, nous y sommes.

Encore tôt le matin, il n'y a personne dans le stationnement ou dans les parages. Une fois stationné, papa se tourne vers moi et me dit de sortir du véhicule. Je m'attendais à ce que papa dise quelque chose d'intelligent, de bien me comporter et de suivre les consignes de quiconque sera en charge de moi, et qu'ils allaient quitter.

À peine débarqué de la banquette arrière, pas très certain si je voulais vraiment me rendre à la réception tout seul. Papa dit soudainement « T'es arrivé à destination. Maintenant, c'est le temps de te déshabiller ». Ce n'était pas une blague, reconnaissant le ton sérieux. Mes joues sont de couleur rouge embarrassé, et je suis resté planté là. Papa ajoute « Tu veux être un nudiste, allez hop, tout nu ! » Je regarde ma soeur sur la banquette arrière qui me fixe des yeux, puis maman, qui ne m'a pas vue nu depuis que j'ai six ou sept ans. Ma soeur m'a vu au minimum qu'en pyjama. Mais que fait-elle là au juste ?

Je regarde de nouveau maman dans les yeux. Je me demandais ce qu'elle pense de moi, si je vais être capable de me déshabiller devant eux.

Maman me donne cet air de « Tout va bien aller » qui se comprend entre nous deux, cet air d'approbation que j'attend lorsque je ne suis pas certain de ce que je dois faire. J'ai une grosse boule dans la gorge. Mon souhait le plus chère est de passer mon été à faire des activités comme dans ces magazines, ce qui devient ma motivation pour me rendre au bout de mes plans. Le toit du convertible manquant, mon père, ma mère et ma soeur auront une vue inobstruée de ma session inévitable de déshabillement, et moi de leur regard, étape par étape.

Presqu'inconsciemment, je déboutonne ma chemise, la retire et la place sur le siège arrière à côté de ma soeur. Je retire ensuite mon t-shirt, la place au même endoit, suivi de mes souliers et bas. Je ne peux éviter les yeux de ma soeur, qui n'y croyait toujours pas. J'ai défait ma ceinture, détaché mes pantalons, chaque mouvement semblait prendre une éternité, le temps presque arrêté comme dans les films. Le son de la descente du zipper était plus fort que d'habitude. Je les dépose avec soin sur la pile.

Me voilà planté là ne portant que des caleçons. Seule la sensation des rayons de soleil du matin m'encourage à franchir la dernière étape. Le vent sur ma peau est comme un chuchotement me disant que je suis dans la bonne direction. C'est le moment de vérité ! Je regarde de nouveau ma soeur, qui me fixe nerveusement, puis maman qui me regarde dans les yeux. Mon coeur bat à toute vitesse. Je peux ressentir l'assurance calme dans ses yeux, qui semble atténuer mon embarrassement. Je peux compter sur son appui que je veux devenir nudiste. Une grande respiration, 3-2-1-Go, on se penche en baissant la culotte, je la reprend du bout du pied avec la main et la place sur la pile de la banquette arrière. Les yeux de maman n'ont jamais quitté les miennes. Son expression a changé pour un sourire approbateur, puis un air amusé en se tournant vers mon père et ma soeur. Les yeux de ma soeur étaient rivés sur moi, elle était rouge comme une tomate, tournant la tête vers la fenêtre pour ne pas voir son frère nu mais retournant immédiatement la tête vers moi pour avoir accompli une épreuve difficile.

Me voilà complètement nu devant Dieu, papa, maman, ma soeur, et quiconque voudrait me regarder. Maman brise le silence et dit « Et maintenant, Bill ? »

Papa, avec cet air d'embarrassement amusé, sort de la voiture et m'accompagne à la réception pour l'inscription. La dame de la réception, ne portant qu'un sourire amical, se tourne vers moi et dit « Tu dois être Jim, nous t'attendions aujourd'hui » pendant que papa compléte le formulaire d'inscription. Elle donne ensuite la clé à papa pour la roulotte où je vais habiter pour la fin de semaine.

Maman et Wonda attendaient toujours dans la voiture lors de notre retour, puis direction vers l'adresse de la roulotte. Il y a quelques minutes à peine, je souhaitais que Wanda ne soit pas là pour me voir nu, mais maintenant je suis amusé par son expression faciale, assis nu à côté d'elle sur la banquette arrière.

À destination, papa déscend de la voiture et entre le premier dans la roulotte, suivi de maman et Wonda. À mon tour d'entrer, papa commence à rougir un peu. Il demande à Wonda et moi de sortir quelques minutes, réalisant que la réalité vient de frapper papa. Quelques minutes plus tard, à ma grande surprise, il sort de la roulotte complètement nu, demandant à Wonda d'entrer pour aider maman, puis me demande de collecter mes vêtements laissés dans la voiture et les entrer dans la roulotte.

En entrant dans la roulotte, j'aperçois maman nue devant le garde-robe, en train d'accrocher nos vêtements. Wonda se trouvait dans la chambre arrière. Maman se retourne vers moi avec un grand sourire, prend mes vêtements et les accrochent. Wonda sort de la chambre, nue, et donne ses vêtements à maman. Ensuite, maman me fait un câlin en disant « Ça c'est pour ton audace ».

Papa a ensuite suggéré à moi et Wonda d'aller explorer les lieux. Sur notre chemin, Wonda s'arrête, me regarde et me demande « Mais comment as-tu eu le courage de te déshabiller ? ». Je lui ai dit que c'est en regardant les magazines que j'ai été déterminé à avoir du plaisir cet été. Au fil de la journée, nous avons graduellement oublié que nous sommes nus. C'est tellement naturel que j'ai même oublié l'embarras d'être nu devant ma soeur. Peu importe, aujourd'hui, je ne suis qu'un garçon nu parmi de nombreux autres au camp.

Plus tard, on m'a expliqué que l'employé du camp qui a reçu ma lettre a appelé papa, lui a parlé de la lettre, mais puisque je n'ai pas 21 ans, je ne peux pas être membre seul. Après discussion, papa et maman ont décidé d'essayer le nudisme et rappelé la secrétaire qui lui a envoyé un feuillet d'informations, et séparément, une lettre adressée à mon nom pour l'invitation.

Lors de notre retour à la maison dimanche soir, tout était revenu à la routine normale. Mon frère était au courant de toute l'histoire et n'en croyait pas que les membres de sa famille ont passé le weekend tout nu... La remise de diplômes a eu lieu le lendemain, lundi, et il nous a quitté pour la Marine le mercredi suivant.

Le lendemain, je descend au salon pour apercevoir papa, maman et ma soeur, tout nu, à regarder la télévision. Je suis retourné dans ma chambre, enlevé tous mes vêtements et retourné les rejoindre. Et c'est désormais comme ça qu'on vit à la maison. Qu'un membre de la famille soit nu ou habillé n'a plus aucune importance. Fini les pyjamas et peignoirs. Si l'on est nu, on le restait jusqu'à ce qu'on aille une raison de s'habiller. Notre maison est isolée de la route, ce qui nous a aussi permis de jouer nu dans la cour arrière.

En fait, on s'habillait uniquement pour le comfort et la sécurité, si on sort ou si on a des invités. Nous visitions le club de nudistes presque tous les weekends d'été, du vendredi soir au dimanche soir.

Notre famille est devenue nudiste/naturiste par le geste audacieux d'un garçon qui voulait avoir du plaisir.

-------

Commentaire : Cette histoire est à l'origine un peu plus longue et détaillée. Lorsque j'ai commencé à la lire en anglais, j'ai cru à une histoire inventée, mais en poursuivant la lecture, ça fait du sens qu'elle se déroule dans les années 70 ou 80 et elle m'a touchée au point où j'y ai repensé toute l'après-midi avant de me décider de la traduire. Je trouve ça dommage qu'après la partie détaillée du stationnement, à partir du moment où papa est dans la roulotte seul avec maman, le reste du récit passe en deuxième vitesse. J'aurais aimé avoir une idée de l'atmosphère entre le narrateur nu et sa soeur habillée pendant l'attente à l'extérieur, leur réaction en voyant papa sortir, comment sa soeur se sentait en sortant de la chambre, ou encore si elle était au courant du plan "surprise" de ses parents. L'auteur a probablement abrégé le récit à partir de là.

J'ai aussi choisi cette histoire parce qu'un souvenir m'a personnellement refait surface durant ma jeunesse. Pas de maladie, mais plutôt en voulant chercher un album de photos de famille dans l'armoire près du garde-robe de la chambre de mes parents, j'ai fait une découverte, pas des magazines naturistes mais quelques livres publiés dans les années 1970 à vocation éducationnelle où l'on voyait papa, maman, garçon et fille, à l'aise dans la nudité, à différents stades de croissance pour chaque volume, que je consultais en cachette. Ils ont peut-être été placés là stratégiquement prenant avantage de ma nature de fouilleux et curieuse. Peut-être que mes parents ont étudié la possibilité de banaliser la nudité à la maison, mais je crois plus à ce que j'explore de mon propre gré tout en leur évitant LA discussion embarrassante. Si ma mémoire est bonne, les livres étaient du genre voici ce que ton corps ressemble maintenant, les garçons vont développer ceci et les filles cela... Je n'ai plus jamais revu ces livres depuis que je me suis fait prendre dans les années 80, ils ont probablement servis à l'éducation de ma soeur puis incinérés dans la fournaise. N'ayant pas eu le privilège de grandir avec des parents naturistes ou à l'aise de parler du sujet... bon, enfin, j'ai eu la curiosité du garçon de l'histoire, mais pas son audace.
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roger
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Re: Puberté

Message par roger »

J'ai trouvé cette histoire un peu trop extraordinaire. C'est sûr qu'un garçon de treize ans peut avoir des fantasmes sur la nudité. J'en ai eu moi-même dans ces âges là. Mon frère ainé achetait des revues naturistes et me les passait en secret. Je rêvais de me baigner nu et d'avoir des parents moins pognés par la gêne du corps.
Par contre là où j'ai du mal à croire cette histoire vraie, c'est lorsqu'il envoie une lettre au camping naturiste et que son père embarque dans son histoire. Pourquoi son père avait-il des revues naturistes dans sa chambre ? Avait-il lui-aussi prévu d'essayer le naturisme ? Cela expliquerait pourquoi il encourage son fils et pourquoi il décide de rester au camp avec sa femme et sa fille. Je crois que cette explication manque à la fin de l'histoire.
Mais j'ai tout de même bien aimé au point d'imaginer une histoire avec des jeunes garçons comme personnages principaux. J'ai demandé à Cor la permission et je la publierai sur le forum lorsque j'en aurai écrit le scénario.
bobettebob a écrit : j'ai fait une découverte, pas des magazines naturistes mais quelques livres publiés dans les années 1970 à vocation éducationnelle où l'on voyait papa, maman, garçon et fille, à l'aise dans la nudité, à différents stades de croissance pour chaque volume.
J'ai l'impression que ces livres dont tu parles sont les cinq volumes publiés dans les années soixante-dix par les éditions Hachette. Chaque volume correspondait à une tranche d'âge de tout petits jusqu'à adultes. Ils étaient écrits par des spécialistes mais ce qui les rendait assez remarquables, c'est que sur la couverture et dans le corps du livre on pouvait voir un garçon et une fille de l'âge correspondant entièrement nus et dans une position tout à fait naturelle et sans complexe. Je me souviens du débat qu'ils provoquèrent dans les milieux conservateurs.
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bobettebob
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Re: Puberté

Message par bobettebob »

roger a écrit :... Je crois que cette explication manque à la fin de l'histoire.
L'histoire nous laisse avec quelques questions en suspend, mais bon, je ne m'abonnerais pas au magazine chasse et pêche si je déteste cette activité (je viens de l'Abitibi, been there, done that), mais si j'avais grandi en ville et que c'est une activité que j'avais jamais fait qui m'interpellais, un abonnement pourrais combler mon imagination.

Dans l'histoire, les magazines naturistes ont probablement été parvenus par abonnement, par achat en kiosque, hérités d'un boîte de magazines d'un particulier, peu importe. Puisque quelques éditions sont facilement accessibles dans la bibliothèque près du lit, les parents sont soit des naturistes qui ont arrêté lorsqu'ils ont eu des enfants, soit des textiles dont l'idée de ce type de vacances leur a effleuré l'esprit depuis des années, ou n'ont pas eu l'audace ni l'opportunité qu'ils ont crue fermée lorsque l'aîné a atteint l'adolescence (remarquez que leur vie naturiste débute après le départ du grand frère de 18 ans du nid familial). Plusieurs possibilités, on ne le saura jamais. J'ai trouvé que c'est un beau geste des parents de laisser croire jusqu'au bout au jeune homme audacieux qu'il y ira seul alors que le plan était décidé d'avance. Les parents avaient probablement besoin de cet appel du camping et la porte d'opportunité s'est grande ouverte. Ils ont compté sur l'audace du jeune homme à se déshabiller devant eux pour se dire que s'il est capable, ils sont capables eux aussi.
roger a écrit :Mais j'ai tout de même bien aimé au point d'imaginer une histoire avec des jeunes garçons comme personnages principaux. J'ai demandé à Cor la permission et je la publierai sur le forum lorsque j'en aurai écrit le scénario.
Toute histoire est bonne à lire, peu importe l'âge du/des narrateur(s). J'ai hâte de lire ça :)
roger a écrit :J'ai l'impression que ces livres dont tu parles sont les cinq volumes publiés dans les années soixante-dix par les éditions Hachette...
Ah, merci pour l'info. :) La provenance de cette maison d'édition réputée explique en partie comment mes parents en sont venus en leur possession.
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bobettebob
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Re: Puberté

Message par bobettebob »

J'avais 14 ans, en visite chez mon oncle qui habite près de la plage où nous avons joué tout l'après-midi. Venu le temps de rentrer, on avait du sable partout sur nos corps, alors ma tante nous demande d'enlever nos maillots et utiliser la douche extérieure avant d'entrer dans la maison. Politique. Il y avait moi, mon cousin et mon petit frère de 12 ans. N'Étant pas supposée me montrer nue devant les garçons, j'ai rouspété, lui disant que je suis trop vieille pour faire celà. Ma cousine de 20 ans, qui observait la scène sur le patio, se lève, se déshabille, et se dirige sous la douche extérieure sans se soucier des regards, pour me montrer qu'il n'y a rien à craindre. Après hésitation, je n'ai pas eu d'autre choix que d'enlever mon maillot. De toute évidence, la nudité était toute naturelle chez eux, mais pas pour moi qui s'est sentie très embarrassée.

par Laura Lopez
Version originale : http://www.clothesfreeforum.com/forum/n ... s?p=135655

Commentaire : Voilà, tout ce qu'il fallait, c'est une grande personne solidaire avec toi pour donner l'exemple et vous apprendre sur le tas le fonctionnement de la maison.
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