Les histoires de bobettebob

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bobettebob
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Re: Histoires de fous

Message par bobettebob »

Ceci est une traduction d'un conte publiée à l'origine par FireProf
http://www.clothesfreeforum.com/forum/n ... st-stories


L'an dernier, nous avons vendu notre maison après y avoir habité durant 20 ans pour se rapprocher de la famille. La maison étant en "escrow", je devais effectuer quelques réparations requises par le nouveau propriétaire. Ayant déjà déménagé nos meubles, la maison était vide, et il fallait que j'y aille avant d'être obligé de payer pour deux maisons.

Ce matin-là, je charge les outils nécessaires du garage dans le camion, met quelques vêtements dans un sac, embarque tout nu dans le camion et je me dirige vers la maison à une heure de route, ouvre la porte de garage (j'ai conservé la télécommande en prévision de ce retour), entre le camion dans l'garage, sort du camion et les outils et débute mon travail. Environ 15 minutes plus tard, je réalise que j'ai besoin de quelques affaires au Home Depot.

Embarque dans le camion : porte-feuille, sandales, t-shirt... mais pas de shorts !!! Quessé que j'vais faire ? Chu quand même pas pour rentrer au magasin les fesses à l'air ! Il ne me reste qu'une seule solution, c'est de retourner à la maison pour chercher mes shorts.

J'embarque dans le camion, frustré envers moi-même, et me redirige à ma nouvelle maison. Heureusement que j'ai remarqué l'indicateur d'essence... Oh, j'ai besoin d'essence ! Comme si c'était pas assez, il faut que j'aille à une station service, sans shorts ! J'ai quand même été chanceux, j'ai repéré une pompe juste assez à l'abri des regards pour sortir du camion, pré-payer et mettre la pompe, à moitié nu.

Après avoir fait le plein, direction nouvelle maison, entré dans le garage puis dans la maison, je retrouve mes shorts sur le comptoir de la salle de lavage, retour au camion, et me revoilà reparti avec un arrêt à la quincaillerie.

Depuis ce temps-là, ayant appris de mes erreurs, je garde en extra une paire de shorts, t-shirt et sandales dans le camion en tout temps !
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bobettebob
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Re: Histoires de fous

Message par bobettebob »

Ceci est une traduction d'un conte publiée à l'origine par stevezr1
http://forum.oneclickchicks.com/showpost.php?p=1885811


Le centre de villégiature jamaïcain.

Ma première expérience naturiste partagée avec d'autres personnes que ma femme a été lorsque nous avons visité ce "resort" (centre de villégiature) jamaïcain tout inclus réservé aux adultes avec un couple d'amis. Nous avions visité le Grand Lido Negril à quelques reprises et avons pensé qu'ils apprécieraient l'expérience.

Nous avons opté de continuer dans la partie nudiste du resort. Pour notre couple d'amis, je savais que lui n'aurait aucun problème, mais elle nous a laissé savoir dès le début qu'il est hors de question qu'elle se mette nue, ou sans le haut. Je me suis dit qu'entourée de gens nus, elle finirait par se sentir inconfortable et qu'elle allait au minimum se promener seins nus. Mais non ! C'est jamais arrivé. Son explication : « Je ne mettrai jamais nue devant tous ces inconnus ». Pendant ce temps, nous étions trois à se promener nus à la plage, au bar et à la piscine, et elle en bikini. Elle a pourtant un beau corps, n'ayant pas de défauts à cacher.

Après une discussion avec ma femme, nous avons proposé de faire une excursion pour la journée, laissant le couple d'amis seuls au resort, raisonnant que normalement, une personne hésite à se mettre nue devant des personnes qu'ils connaissent mais s'en foutent devant des étrangers. Est-ce que ça a fonctionné ? Pas du tout. Il nous a raconté qu'ils sont restés au resort toute la journée, lui nu et elle en bikini.

Le soir, on se rend à leur chambre puisque nous avons des réservations pour le souper. Ils sont un peu en retard, il est en train de s'habiller alors qu'elle vient juste de sortir de la douche, enveloppée d'une serviette. De la façon la plus naturelle, elle détache la serviette, continue de s'essuyer, accroche la serviette pour sécher et se tourne vers le miroir pour se maquiller, nue, comme si nous étions même pas là. C'est bien la première fois que je la vois nue. Essayant de trouver la logique, je lui demande une explication. De façon nonchalente, elle dit qu'il n'y a rien là puisqu'on est entre amis.

La scène s'est répétée quelques autres fois durant la semaine, uniquement dans leur chambre. Nous nous sommes tous cassés à tête à essayer de comprendre pourquoi elle était sans inhibition entre nous, mais n'a pas exposé un seul mamelon sur les lieux du complexe naturiste.

Personnellement, je pense qu'il y a quelques facteurs en jeu ici.
1) Elle s'est probablement dit qu'elle attirerait plus d'attention en bikini dans les espaces de nudité. Je pense que oui, mais je doute que ce soit les bonnes attentions, comme, la fille cool vs. les weirdos.
2) Elle est incroyablement, ridiculement têtue.
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bobettebob
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Re: Histoires de fous

Message par bobettebob »

Ceci est une traduction d'un conte publiée à l'origine par Kristin
http://www.clothesfreeforum.com/forum/n ... ries/page3


Le projet de fin d'année

J'étais dans la cour arrière à travailler sur mon bronzage intégral en attendant une de mes amies vers 18 heures, et ça m'est sorti de l'esprit qu'elle m'a appelé pour me dire qu'elle allait plutôt passer vers 16 heures. Lorsqu'elle est arrivée à ma maison, mes parents leur ont dit que je me trouve dans la cour arrière, soit parce qu'ils ont assumé qu'elle sait que je suis nudiste (ce qui était mon secret dans ce temps-là) ou soit qu'en connaissance d'un visiteur, j'allais être habillée (quoiqu'ils savent que je suis nudiste à temps plein).

Comme vous pouvez l'imaginer, arrivée dans la cour arrière en voyant immédiatement mon petit derrière bronzé, elle a lâché une série de bruits étranges qui ressemblent à un halètement, un petit rire inconfortable et un cri d'horreur, tout mélangé ensemble. Pendant ce concert acappella, je n'ai pas bougé en me disant que la vue de mon derrière est préférable à ce qu'elle aurait vu en me levant. Les bruits estompés, j'ai commencé à rire de la situation en me retournant accidentellement. Étant une bonne amie, je lui ai demandé si elle était okay (pas nécessairement okay avec ma nudité, juste okay en général).

À contre-coeur, elle a répondu oui, c'est juste qu'elle ne s'y attendait pas, mais a ensuite avoué qu'elle pratique aussi le bronzage intégral à l'occasion.

Debout, dans toute ma gloire, je lui demande si elle veut aller chercher le matériel et l'apporter à l'extérieur. (C'était un projet scolaire de fin d'année). Ça lui a pris un peu de temps pour reprendre ses esprits, mais éventuellement, elle me répond « Okay, ne ris pas de moi, je suis encore toute blème ».

En me dirigeant vers la porte patio, elle me demande « Euh, tu ne vas pas t'habiller en premier ? » et je lui répond « mes vêtements sont dans ma chambre, avec le projet ». Réalisant ne pas avoir répondu à sa question, je continue « De toute façon, mes parents me voient nu tout le temps. ». Une ampoule s'est allumée au-dessus de sa tête réalisant que je suis nudiste, un fait que j'ai confirmé.

En retournant dans la cour arrière, elle s'est lentement déshabillée, elle a même gardé sa culotte pendant environ une heure, et était vraiment cool avec la situation. Et oui, elle était vraiment blanche en-dessous de ça !

J'étais vraiment embarrassée sous l'effet de surprise, mais après la poussée de bruits, c'était déjà du passé.
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roger
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Re: Histoires de fous

Message par roger »

J'aime bien lire ces histoires de fous. Je suppose que ce sont des traductions. Non ?
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bobettebob
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Re: Histoires de fous

Message par bobettebob »

roger a écrit :J'aime bien lire ces histoires de fous. Je suppose que ce sont des traductions. Non ?
Ouep. J'en profite pour dire merci du feedback, mais aussi pour m'excuser d'avance pour les erreurs de syntaxe et le manque de vocabulaire. Je commence d'abord par une traduction presque littéraire, mais récemment je sauvegarde le texte dans un fichier Word, je le relis le lendemain en apportant plusieurs corrections avant de le publier. Les plus récents devraient être plus faciles à lire.

Je remarque aussi que je devrais créditer l'auteur original et/ou mettre l'adresse du texte original, par courtoisie. Mais bon, il est trop tard pour modifier mes messages d'après les réglages du forum.
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roger
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Re: Histoires de fous

Message par roger »

Normalement google traduction donne une relative bonne traduction (meilleure que Reverso je crois) mais il a besoin d'une révision personnelle d'abord et d'un passage dans le logiciel Antidote ensuite. J'adore ce logiciel. C'est le meilleur au monde. Pour les européens, il se vend à la FNAC. Des fois, j'écris en français, corrige le texte avec antidote, je traduis le texte en anglais avec google traduction puis je passe le texte anglais dans Antidote. Depuis la version 9, nous avons la correction en anglais. C'est super. Selon mes correspondants britanniques, c'est sûr que ça ne donne pas du Charles Dickens mais c'est mieux que rien.
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Cor
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Re: Les histoires de bobettebob

Message par Cor »

Bob,
Je remarque aussi que je devrais créditer l'auteur original et/ou mettre l'adresse du texte original, par courtoisie. Mais bon, il est trop tard pour modifier mes messages d'après les réglages du forum.
Effectivement, il est important de bien respecter les droits d'auteur même pour les œuvres disons 'officieuses', ce n'est que simple courtoisie. Si tu as encore les auteurs et/ou les sources de tes histoires, envoies-me les avec le titre de l'histoire tel qu'il paraît sur le forum par message privé et je m'assurerai de les afficher correctement.
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Re: Les histoires de bobettebob

Message par bobettebob »

Je republie une histoire que j'ai mis en ligne sur le forum en novembre 2016. Version abrégée.

Pancakes au naturel

L'histoire commence avec une publicité publiée au début juillet dans le journal local afin d'inviter la communauté à un brunch crêpes au centre naturiste, qui aura lieu un samedi et dimanche dans environ 2 semaines, de 8am à midi suivi d'un "open house" jusqu'à 14h. Réservez vos places.

L'auteur dit qu'il a fait quelques bains de minuit, mais n'est jamais allé dans un centre naturiste... sa femme HelenRose lui pointe du doigt la publicité sachant que ça devrait l'intéresser, et comme on peu s'y attendre, elle va demeurer habillée alors que lui n'hésitera pas de se dévêtir, « c'est un centre naturiste, l'expérience sera meilleure étant nu ».

Une semaine plus tard, ils consultent le site web afin de s'informer des règlements et des activités, soudain, l'idée de manger des crêpes tout nu dans une salle pleine de gens nus semble moins choquante qu'elle ne l'était au début. La "littérature" sur le naturisme mentionne qu'après 10 minutes, t'as tendance à oublier la nudité. Sa copine se décide alors qu'elle va elle aussi se dévêtir.

Le matin de l'activité, arrivée vers 10am, question que la température soit plus agréable. Après une prise de photo souvenir du "Bienvenue" à environ 100 pieds de l'entrée principale, HelenRose a soudainement une hésitation. En se rendant au stationnement, elle pointe du doigt « Oh mon dieu, il y a un homme nu derrière l'accueil ! ». Mais non, c'est parfaitement normal puisque nous SOMMES dans un parc naturiste.

Après avoir constaté l'ambiance de la salle, ils font connaissance de Mark, leur cuisinier, qui leur propose de faire le tour du centre. Ils retournent à la voiture, ouvre la valise, monsieur se déshabille devant le regard étonné de madame, qui se décide d'enlever tout sauf sa blouse, gardée boutonnée. Au cours de la visite, pendant que la température extérieure augmente, elle détache pérodiquement et inconsciemment ses boutons de blouse... il n'en restait qu'un attaché vers la fin de la visite une demi-heure plus tard.

Retour dans la salle, Mark prend leur commande. Discussion avec les résidents à la table, puis elle avec l'hôtesse à propos du contact visuel, qui répond à sa question que tout le monde observe au début, et par la suite ça n'a plus d'importance. D'accord avec la logique, HelenRose détache le dernier bouton de sa blouse.

Après avoir remercié les hôtes et quitté la salle, en passant près de la voiture, elle décide d'y laisser sa blouse et visiter les lieux par eux-mêmes. Près de la piscine et du lac, ils constatent que tout le monde sont bronzés sans démarcation alors qu'eux sont blèmes... Bref, ils ont pris un peu de soleil, exploré les lieux et les sentiers, revenus à l'accueil et rejoint une douzaine de visiteurs engagés dans des sujets divers, puis ont dû quitter le monde naturisme pour réintégrer le monde textile sur le chemin du retour.

Quatre jours plus tard, après quelques recherches, ils s'inscrivent à un autre centre naturiste. Le récit continue avec un match de volleyball au naturel.

Auteur : John L. Ferri
http://home.epix.net/~jlferri/nudepc.html

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C'est fou mais, au Québec on se demande pendant des années comment faire de la publicité pour le naturisme, alors que tout ce que ça prend, c'est de lancer une invitation à une activité sociale aussi banale qu'un petit déjeûner au centre communautaire, question de "briser la glace" dans un environnement mixte, optionnel.

Certains visiteurs viendront en couple, famille ou avec des amis, vont poser des questions, auront droit à une visite guidée des lieux puis pourront les explorer à leur propre gré de façon "portes ouvertes" et "vêtements optionnels" une partie de l'après-midi au prix d'un déjeûner. Les prudes quitteront après (ou avant) le déjeûner.
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Re: Les histoires de bobettebob

Message par roger »

Mon cher Bobettebob, ces visites se font dans certains campings. Par exemple, à la Pommerie où je suis allé quelquefois les dernières années, il y a porte ouverte et entrée libre au début de la saison.
Pour le reste je pense que le principal problème au Québec ce sont les conflits de personnalité. Je n'en dirais pas plus pour ne pas repartir la chicane.
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Re: Les histoires de bobettebob

Message par bobettebob »

roger a écrit :Mon cher Bobettebob, ces visites se font dans certains campings. Par exemple, à la Pommerie où je suis allé quelquefois les dernières années, il y a porte ouverte et entrée libre au début de la saison.
C'est plutôt l'approche qu'il faut changer. Si on annonce "portes ouvertes de midi à 17h au centre naturiste", la clientèle qui répondra a l'annonce sera principalement ceux qui ont déjà pensé à faire du naturisme, notamment très peu de famille, quelques couples sans enfant, beaucoup d'hommes seuls, aucune femme seule (et probablement deux amies venant ensemble).

En annonçant une activité sociale ouverte que n'importe qui peut participer sans les obliger à se dévêtir, dans cet exemple un brunch-déjeûner, ce sera plus simple à expliquer en scénario : Plusieurs retraités (cliché, la clientèle principale) se rencontrent à un restaurant en avant-midi tous les jours pour un café-muffin, c'est leur sortie sociale, certains lisent le journal en parallèle et font les mots-croisés, voient l'annonce, ont leur préjugés envers les tout-nus mais se mettent d'accord par curiosité de tenter l'expérience d'aller prendre leur café au centre naturiste en fin de semaine pour voir du monde tout nu. (L'annonce s'adressant à tous, d'autres groupes d'âge vont aussi tenter l'expérience). Sur place, avec leurs amis, pour le prix d'un déjeûner, ils ont le choix de s'informer et rencontrer des résidents, ce qui pourrait changer leurs mentalités... alors que d'autres seront mal-à-l'aise et vont sacrer leur camp d'icitte, mais au moins, ils ont essayé. On leur a fait miroiter la possibilité de la nudité sociale sans jugement. En organisant l'activité au début de l'été (fin mai, début juin), les chaudes températures à venir s'occupera du travail de persuation. Et quand on commence le nudisme intérieur dû à la température, notre prochaine destination vacances sera facile à faire...

Si j'suis à côté d'la track, faites-moi signe.
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