Legacy - une BD 'hors série' par Grace Crowley
Publié : 08 mars 2019, 08:05
Voici ce que l'auteur à écrit pour introduire l"histoire. Je présume qu'elle a agit ainsi pour expliquer son aspect 'naturiste' à ceux de ses lecteurs qui ne connaissaient pas ses autres BD.
Je vous présente ‘Legacy’ !
par Grace Crowley (janvier, 2018)
Il y a très longtemps, j’avais publié un petit extra au sujet de l’univers de Magellan dans lequel j’ai introduit plusieurs super-héros de son époque dorée… Victory Man, Lady Lariat, Chinese Lantern, Knuckle Duster, Black Hood, Gizmo Girl et [coup de tambour] The Streaker (le Nu-vite) – si vous lisez l’anglais, vous pouvez le consulter >ici< (et cliquez sur l'image qui apparaît pour poursuivre l'histoire).
Voici, quelque peu modifié, est ce que j’avais écrit à son sujet dans les années 2004 et 2005 :
Le Nu-vite, du nom de Jake Spanner, était biochimiste avec le rêve de devenir invisible. Plusieurs essais en 1936 se sont avérés infructueuses mais les différents mélanges avec lesquels il s’était injecté se sont recombinés à son insu pour produire un effet secondaire inattendu. Au lieu de le rendre invisible, il est devenu l’homme le plus rapide au monde – un titre qui lui appartient encore de nos jours.
Avec la capacité d’atteindre des vitesses d’au-delà de 50 000 km/h, Jake Spanner commença une nouvelle carrière à combattre le crime en tant que le Nu-vite. Disant que les vêtements ne faisaient que le ralentir, s’ils ne brûlèrent pas à cause de la friction, Spanner choisit de courir nu et donc, n’a jamais adopté de costume. Seule une paire de lunettes de sécurité servait à lui cacher son identité.
Pendant les années ’40, les criminels n’étaient pas les seuls à contester les activités du Nu-vite ; grand nombre de personnalités religieuses et politiques lui traitaient de pervers. Des mandats d’arrêt pour indécence publique sans nombre avaient été émis à travers plusieurs continents – sauf que personne ne réussit jamais à les lui présenter. La tôlée suite à sa présence était telle que journaux locaux cherchaient toujours à crier « Le Nu-vite expulsé en courant »
Malgré le controverse produit par son costume (ou plutôt manque de costume), le Nu-vite a été un atout important dans la réduction de plusieurs meurtres, de vols et de désastres. Comme plusieurs autres combattants du crime, il préférait travailler seul car la plupart des super-héros – surtout les femmes – se sentaient très mal-à-l’aise face à sa nudité. Ceci dit, il jouait un role important parmi les membres des Victorieux. Le Nu-vite a disparu en 1951 – à l’âge de 39 ans. Plusieurs scénarios ont été émis sur sa fin éventuelle mais aucun n’a pu être confirmé.
J’avoue que j’avais créé le personnage en partie comme un gag et en partie pour faire un lien vers la BD naturiste que j’écrivais à l’époque. Malgré le peu d’information concrète au sujet des origines du Nu-vite offerte, l’idée d’écrire une histoire lui impliquant ou du moins créé par son influence sur les super-coureurs de Magellan m’est aussitôt venue à l’esprit… une histoire qui a pris dix ans à voir le jour.
Voici donc la page-couverture de l'histoire.
Si l’image vous rappelle de vagues souvenirs, vous n’avez pas tort. Puisqu’elle tourne autour de deux coureurs d’époques différentes, comment pourrais-je faire autre que de rendre hommage à ce classique de l’Âge argentée de la BD américaine.
Je vous présente ‘Legacy’ !
par Grace Crowley (janvier, 2018)
Il y a très longtemps, j’avais publié un petit extra au sujet de l’univers de Magellan dans lequel j’ai introduit plusieurs super-héros de son époque dorée… Victory Man, Lady Lariat, Chinese Lantern, Knuckle Duster, Black Hood, Gizmo Girl et [coup de tambour] The Streaker (le Nu-vite) – si vous lisez l’anglais, vous pouvez le consulter >ici< (et cliquez sur l'image qui apparaît pour poursuivre l'histoire).
Voici, quelque peu modifié, est ce que j’avais écrit à son sujet dans les années 2004 et 2005 :
Le Nu-vite, du nom de Jake Spanner, était biochimiste avec le rêve de devenir invisible. Plusieurs essais en 1936 se sont avérés infructueuses mais les différents mélanges avec lesquels il s’était injecté se sont recombinés à son insu pour produire un effet secondaire inattendu. Au lieu de le rendre invisible, il est devenu l’homme le plus rapide au monde – un titre qui lui appartient encore de nos jours.
Avec la capacité d’atteindre des vitesses d’au-delà de 50 000 km/h, Jake Spanner commença une nouvelle carrière à combattre le crime en tant que le Nu-vite. Disant que les vêtements ne faisaient que le ralentir, s’ils ne brûlèrent pas à cause de la friction, Spanner choisit de courir nu et donc, n’a jamais adopté de costume. Seule une paire de lunettes de sécurité servait à lui cacher son identité.
Pendant les années ’40, les criminels n’étaient pas les seuls à contester les activités du Nu-vite ; grand nombre de personnalités religieuses et politiques lui traitaient de pervers. Des mandats d’arrêt pour indécence publique sans nombre avaient été émis à travers plusieurs continents – sauf que personne ne réussit jamais à les lui présenter. La tôlée suite à sa présence était telle que journaux locaux cherchaient toujours à crier « Le Nu-vite expulsé en courant »
Malgré le controverse produit par son costume (ou plutôt manque de costume), le Nu-vite a été un atout important dans la réduction de plusieurs meurtres, de vols et de désastres. Comme plusieurs autres combattants du crime, il préférait travailler seul car la plupart des super-héros – surtout les femmes – se sentaient très mal-à-l’aise face à sa nudité. Ceci dit, il jouait un role important parmi les membres des Victorieux. Le Nu-vite a disparu en 1951 – à l’âge de 39 ans. Plusieurs scénarios ont été émis sur sa fin éventuelle mais aucun n’a pu être confirmé.
J’avoue que j’avais créé le personnage en partie comme un gag et en partie pour faire un lien vers la BD naturiste que j’écrivais à l’époque. Malgré le peu d’information concrète au sujet des origines du Nu-vite offerte, l’idée d’écrire une histoire lui impliquant ou du moins créé par son influence sur les super-coureurs de Magellan m’est aussitôt venue à l’esprit… une histoire qui a pris dix ans à voir le jour.
Voici donc la page-couverture de l'histoire.
Si l’image vous rappelle de vagues souvenirs, vous n’avez pas tort. Puisqu’elle tourne autour de deux coureurs d’époques différentes, comment pourrais-je faire autre que de rendre hommage à ce classique de l’Âge argentée de la BD américaine.