Re: Histoires de Cor : La colonie de vacances
Publié : 09 oct. 2018, 15:39
Épisode 30 ; « We shall overcome… »
« Bon… Tout le monde connaît les règlements, » cria Ethel Baker à travers son mégaphone. « Tous les campeurs doivent être complètement habillés en tout temps. La baignade à poil est formellement interdite ainsi que toute nudité sauf à l’intérieur même des douches. »
« Aussi, les douches ne sont plus mixtes ; nous revenons à l’horaire établie au début de la saison avec les filles le matin et les garçons le soir. En plus, il n’y aura plus de fraternisation entre garçons et filles dans les cabanes. »
« Tout campeur pris à ne pas respecter ces règlements sera punit sévèrement. »
La première journée de la ‘Nouvel Ordre’ fut catastrophique pour les campeurs. Le camp sous la direction des deux membres du conseil, Ethel Baker et Jonas Small, prit les airs d’un camp de travail à l’époque de Staline. Maintenant, toutes les activités furent ségrégués, même l’archerie et l’hébertisme.
« Ça pue. » déclara Karen.
« C’est vrai, avec Jennifer, on se sentait en vacances. » dit Heather.
« Je n’ai pas entendu un seul campeur se plaindre, avant, » dit Sam, « même pas ceux qui n’osaient pas se baigner à poil, eux-mêmes. »
« Bien… je pense que nous pourrons oublier ça pour le futur, » dit Linda. « Vous avez tous entendu ce que Baker a dit. »
Lisa allait dire quelque chose mais elle c’est révisée ; elle sortit de la cabane.
« Et puis, merde ! » dit Sam et se déshabilla. « Bon… voilà qui est mieux. »
« Tu n’as pas peur que quelqu’un découvre que tu ne respectes pas les règlements ? » demanda Ginger.
« Que penses-tu qu’ils puissent faire ; me mettre en cage, me sacrer dehors ? J’aimerais encore mieux être expulsée que de rester ici dans ces conditions. »
« T’as raison, » dit Heather et elle se déshabilla également ; elle fut immédiatement suivie par Karen, puis par les autres filles. L’ambiance fut allégée d’un coup.
Ils entendirent un bruit de dehors puis un appel… « Eh, les filles, ça vous tente de nous suivre ? »
Ce fut Luke et les autres gars de la 6. Ils étaient tous aussi nus que les filles.
« Oh, que je suis contente de vous voir, » cria Ginger en sautant dans les bras de Luke.
« Je suis content de voir que vous ne vous êtes pas laissé écraser par les pantins à Hartwell, » dit Tom. « Vous avez eu la même idée que nous. »
« N’êtes-vous pas inquiet de ce qu’ils pourraient faire ? » demanda Linda.
« On s’en fout ! » dit Tom. « Que peuvent-ils faire ? La saison est foutue, de toute façon. »
Luke ajouta « C’est une belle nuit, dehors… allons marcher. »
Ginger alla dire quelque chose mais Karen et Heather crièrent en chœur « Allons-nous baigner ! »
Bientôt, tous le groupe fut dehors dans l’air frais de la nuit étoilée. Ils essayèrent d’être le plus silencieux possible mais une douzaine de campeurs qui se déplacent lors d’une nuit autrement calme, ça fait quand même un peu de bruit et, ici et là, les lumières furent allumés dans des cabanes. Les campeurs dans certaines d’elles comprirent ce qui se tramait et suivirent le groupe. Sous peu, ils furent tous à s’éclabousser et à s’arroser dans l’eau de la plage.
Les rires et les cris furent interrompus par le son strident d’un sifflet.
Sur la plage, tenant le sifflet, fut Ethel Baker. Derrière elle se trouvèrent une demi-douzaine de moniteurs. « Que faites-vous tous ici après le couvre-feu et…tous nus ? » cria-t-elle dans sa voix nasarde.
« Il fait doux, le ciel est clair, la lune est presque pleine… c’est un temps idéal pour un bain de minuit, Madame, » dit Ginger, debout dans de l’eau, jusqu’aux genoux avec de l’eau qui ruisselait le long de sa forme nue.
« Nous en reparlerons au matin ! » cria Baker, puis elle ordonna tous les baigneurs hors de l’eau et elle les dirigea vers leurs cabanes comme un berger mènerait un troupeau de moutons. Elle ordonna les moniteurs de faire la garde pour que, comme le disait Mme Baker, ‘aucun nudiste ne s’échappe’.
Le lendemain, elle convoqua, un à un, chacun des campeurs des cabanes 6 et 7 dans son bureau et, dispersait chacun d’eux dans les douze cabanes de la colonie, espérant ainsi de mâter toute résistance à son règne.
À la fin de la journée, après que tous les ‘nudistes’ furent installés dans leurs nouvelles cabanes et tous les campeurs furent au lit…
« Donc, t’es une de celles qui étaient tout nu sur l’île, n’est-ce pas ? » demanda la fille dans le lit à côté de celle de Linda.
« Ouais… c’est vrai, » répondit Linda, un peu sur la défensive.
« Puis, comment c’était avec tous ces gars tout nus ? »
« Pas pire, » dit Linda, incertaine de la direction qu’allait la conversation. « Après tout, nous l’étions tous. »
Une autre fille embarqua dans la conversation. « Alors, est-ce que les gars ont eu des… tu sais… des érections ? »
« Pour être honnête, je ne me souviens pas. Nous faisions juste ce que nous faisons ici à tous les jours sauf que nous étions nus. En fait, c’était très agréable. »
« Comment ça ? » demanda la première fille.
« Bien, je ne sais pas vraiment comment le dire… c’était comme s’il n’y avait plus rien à cacher, un soulagement, en quelque sorte, » expliqua Linda, plus confiante d’un coup. « Nous avions eu des conversations magnifiques. Même ceux et celles qui furent réservés ici se sont ouverts. C’était comme sortir de l’école lors de la première journée des vacances, on se sentait libres. »
« Wow, » dit la première fille, « Mon nom est Whitney, par ailleurs. »
« Salut. Moi, c’est Linda. »
« Moi, c’est Cali, » dit la deuxième. « Je crois que j’aimerais l’essayer mais ça me fait peur. »
« Vraiment, il n’y a rien là, » dit Linda. « Après un moment, t’oublie même que t’es toute nue. Par contre, t’as toujours cette sensation de pouvoir enfin respirer. Tu te sens vivante… et c’est parfait pour bronzer. »
« Wow… ! » dirent-elles encore.
« Pourquoi pas l’essayer tout de suite. » proposa Linda.
« Comment ça ? » demanda Whitney. « Se déshabiller maintenant… ? »
« ¨Pourquoi pas, » répondit Linda. « Nous sommes toutes seules et dormir nu est tellement plaisant. »
« Tant qu’à ça, pourquoi pas, » dit Cali et elle sauta du lit puis retira sa chemise de nuit. Whitney la suivit.
« Que faites-vous ? » demanda une troisième fille.
« Nous avons décidé de dormir nue, » répondit Cali. « Essayes-le. »
Des scènes similaires se déroulèrent partout dans la colonie.
« Bon… Tout le monde connaît les règlements, » cria Ethel Baker à travers son mégaphone. « Tous les campeurs doivent être complètement habillés en tout temps. La baignade à poil est formellement interdite ainsi que toute nudité sauf à l’intérieur même des douches. »
« Aussi, les douches ne sont plus mixtes ; nous revenons à l’horaire établie au début de la saison avec les filles le matin et les garçons le soir. En plus, il n’y aura plus de fraternisation entre garçons et filles dans les cabanes. »
« Tout campeur pris à ne pas respecter ces règlements sera punit sévèrement. »
La première journée de la ‘Nouvel Ordre’ fut catastrophique pour les campeurs. Le camp sous la direction des deux membres du conseil, Ethel Baker et Jonas Small, prit les airs d’un camp de travail à l’époque de Staline. Maintenant, toutes les activités furent ségrégués, même l’archerie et l’hébertisme.
« Ça pue. » déclara Karen.
« C’est vrai, avec Jennifer, on se sentait en vacances. » dit Heather.
« Je n’ai pas entendu un seul campeur se plaindre, avant, » dit Sam, « même pas ceux qui n’osaient pas se baigner à poil, eux-mêmes. »
« Bien… je pense que nous pourrons oublier ça pour le futur, » dit Linda. « Vous avez tous entendu ce que Baker a dit. »
Lisa allait dire quelque chose mais elle c’est révisée ; elle sortit de la cabane.
« Et puis, merde ! » dit Sam et se déshabilla. « Bon… voilà qui est mieux. »
« Tu n’as pas peur que quelqu’un découvre que tu ne respectes pas les règlements ? » demanda Ginger.
« Que penses-tu qu’ils puissent faire ; me mettre en cage, me sacrer dehors ? J’aimerais encore mieux être expulsée que de rester ici dans ces conditions. »
« T’as raison, » dit Heather et elle se déshabilla également ; elle fut immédiatement suivie par Karen, puis par les autres filles. L’ambiance fut allégée d’un coup.
Ils entendirent un bruit de dehors puis un appel… « Eh, les filles, ça vous tente de nous suivre ? »
Ce fut Luke et les autres gars de la 6. Ils étaient tous aussi nus que les filles.
« Oh, que je suis contente de vous voir, » cria Ginger en sautant dans les bras de Luke.
« Je suis content de voir que vous ne vous êtes pas laissé écraser par les pantins à Hartwell, » dit Tom. « Vous avez eu la même idée que nous. »
« N’êtes-vous pas inquiet de ce qu’ils pourraient faire ? » demanda Linda.
« On s’en fout ! » dit Tom. « Que peuvent-ils faire ? La saison est foutue, de toute façon. »
Luke ajouta « C’est une belle nuit, dehors… allons marcher. »
Ginger alla dire quelque chose mais Karen et Heather crièrent en chœur « Allons-nous baigner ! »
Bientôt, tous le groupe fut dehors dans l’air frais de la nuit étoilée. Ils essayèrent d’être le plus silencieux possible mais une douzaine de campeurs qui se déplacent lors d’une nuit autrement calme, ça fait quand même un peu de bruit et, ici et là, les lumières furent allumés dans des cabanes. Les campeurs dans certaines d’elles comprirent ce qui se tramait et suivirent le groupe. Sous peu, ils furent tous à s’éclabousser et à s’arroser dans l’eau de la plage.
Les rires et les cris furent interrompus par le son strident d’un sifflet.
Sur la plage, tenant le sifflet, fut Ethel Baker. Derrière elle se trouvèrent une demi-douzaine de moniteurs. « Que faites-vous tous ici après le couvre-feu et…tous nus ? » cria-t-elle dans sa voix nasarde.
« Il fait doux, le ciel est clair, la lune est presque pleine… c’est un temps idéal pour un bain de minuit, Madame, » dit Ginger, debout dans de l’eau, jusqu’aux genoux avec de l’eau qui ruisselait le long de sa forme nue.
« Nous en reparlerons au matin ! » cria Baker, puis elle ordonna tous les baigneurs hors de l’eau et elle les dirigea vers leurs cabanes comme un berger mènerait un troupeau de moutons. Elle ordonna les moniteurs de faire la garde pour que, comme le disait Mme Baker, ‘aucun nudiste ne s’échappe’.
Le lendemain, elle convoqua, un à un, chacun des campeurs des cabanes 6 et 7 dans son bureau et, dispersait chacun d’eux dans les douze cabanes de la colonie, espérant ainsi de mâter toute résistance à son règne.
À la fin de la journée, après que tous les ‘nudistes’ furent installés dans leurs nouvelles cabanes et tous les campeurs furent au lit…
« Donc, t’es une de celles qui étaient tout nu sur l’île, n’est-ce pas ? » demanda la fille dans le lit à côté de celle de Linda.
« Ouais… c’est vrai, » répondit Linda, un peu sur la défensive.
« Puis, comment c’était avec tous ces gars tout nus ? »
« Pas pire, » dit Linda, incertaine de la direction qu’allait la conversation. « Après tout, nous l’étions tous. »
Une autre fille embarqua dans la conversation. « Alors, est-ce que les gars ont eu des… tu sais… des érections ? »
« Pour être honnête, je ne me souviens pas. Nous faisions juste ce que nous faisons ici à tous les jours sauf que nous étions nus. En fait, c’était très agréable. »
« Comment ça ? » demanda la première fille.
« Bien, je ne sais pas vraiment comment le dire… c’était comme s’il n’y avait plus rien à cacher, un soulagement, en quelque sorte, » expliqua Linda, plus confiante d’un coup. « Nous avions eu des conversations magnifiques. Même ceux et celles qui furent réservés ici se sont ouverts. C’était comme sortir de l’école lors de la première journée des vacances, on se sentait libres. »
« Wow, » dit la première fille, « Mon nom est Whitney, par ailleurs. »
« Salut. Moi, c’est Linda. »
« Moi, c’est Cali, » dit la deuxième. « Je crois que j’aimerais l’essayer mais ça me fait peur. »
« Vraiment, il n’y a rien là, » dit Linda. « Après un moment, t’oublie même que t’es toute nue. Par contre, t’as toujours cette sensation de pouvoir enfin respirer. Tu te sens vivante… et c’est parfait pour bronzer. »
« Wow… ! » dirent-elles encore.
« Pourquoi pas l’essayer tout de suite. » proposa Linda.
« Comment ça ? » demanda Whitney. « Se déshabiller maintenant… ? »
« ¨Pourquoi pas, » répondit Linda. « Nous sommes toutes seules et dormir nu est tellement plaisant. »
« Tant qu’à ça, pourquoi pas, » dit Cali et elle sauta du lit puis retira sa chemise de nuit. Whitney la suivit.
« Que faites-vous ? » demanda une troisième fille.
« Nous avons décidé de dormir nue, » répondit Cali. « Essayes-le. »
Des scènes similaires se déroulèrent partout dans la colonie.