Re: Histoires de Cor : La colonie de vacances
Publié : 14 juil. 2018, 17:27
Épisode 9 ; Pris en flagrant délit !
« D’accord. »
« Juste comme ça ?, Pas de ‘Laisse-moi y penser’ ni rien ? »
« Bien… si ça te fait plaisir, » taquina-t-elle, « je pourrais ajouter ‘ça me fera grand plaisir’ mais oui, je suis sérieuse. »
« Fantastique ! Merveilleux ! Parfait ! » Et Tom repartit pour la salle à dîner en courant tandis que Linda, le sourire aux lèvres, suivit à un rythme plus soutenue.
Cet après-midi-là, Tom plana. Lors de partie de balle-molle, quand ce fut son tour au bâton, il ferma ses yeux et donna un gros coup et fut le premier surpris quand il ait connecté. Ce furent les cris de ces coéquipiers qui le réveillèrent et ce n’était qu’à ce moment-là qui réalisa ce qu’il a fait ; un triple avec deux points produits. Il aurait peut-être pu accomplir un coup de circuit aussi s’il avait parti aussitôt qu’il avait frappé mais qu’importe. Quand la partie fut terminée, son équipe avait accumule trois points d’avance. Ce fut un excellent après-midi.
Le souper et la douche passèrent sans que Tom fût conscient de leur passage. Tandis qu’il fut couché dans son lit, les yeux grands ouverts, attendant que les minutes incroyablement longues passent comme de la mélasse en plein hiver ; il tripotait la couverte qu’il emporterait avec lui. Enfin, ce fut l’heure. Sortant du lit, il passa la couverte par-dessus les épaules comme s’il allait au bloc sanitaire et qu’il avait froid. Dehors, il resta dans les endroits plus sombres, dépassant les cabanes, évitant le terrain de sport jusqu’à atteindre le lac près de l’endroit où il avait demandé Linda de le rencontrer. Regardant sa montre, il vit qu’il était d’avance alors il s’installa pour attendre.
« Allo, Tom. »
Tom sursauta et se tourna. Linda se trouva derrière lui et était déjà déshabillée.
« Calvaire, Linda, tu m’as fait une peur bleue. »
« Je suis désolée. Aimerais-tu parler avant ou est-ce qu’on y va ? »
« Bien, je préférerais parler mais puisque tu es déjà nue, je ne crois pas que ce serait juste si moi, je reste habillé. Où as-tu laissé tes vêtements ? »
« Par là-bas ; il y a une petite clairière derrière ces arbustes où personne ne nous verrait. »
« D’accord, allons-y. Pourrais-tu tenir ma couverte pendant que je me déshabille ? » Après lui avoir sonné sa couverte, il ôta son tee-shirt et, arrivé à l’endroit où Linda avait laissé ses vêtements, il baissa ses shorts et enleva ses sandales. Puis, prenant un grand respire, prit son sous-vêtement et le poussa jusqu’aux chevilles. Étirant un bras vers Linda, il se tint à son épaule pendant qu’il dégagea ses pieds et l’envoya sur la pile.
« Voilà, » dit Linda, « je savais que tu en étais capable. »
« Pourrions-nous nous assoir, là, un à côté de l’autre, pour un bout ? »
Comprenant que Tom avait besoin de renforcer son courage, elle accepta et ils s’assirent, l’un contre l’autre, le bras de Tom entourant ses reins tandis que Lisa avait son bras appuyé sur l’épaule de Tom. Tom lui raconta le livre qu’il avait lu et comment il avait fantasmé que les deux étaient à se réchauffer dans le même sac de couchage. « C’était un tellement bon fantasme que cela m’a donné le courage de te demander d’aller te baigner à poil avec moi. »
« Tu sais que je t’aime beaucoup et que je ne ferai jamais rien pour te blesser, n’est-ce pas ? »
« Oui, je le sais ; c’est pour ça que j’ai décidé de participer à l’excursion. J’ai pensé que n’importe quoi tu ferais pour aider quelqu’un devrait être quelque chose de bon. »
« Es-tu prêt pour aller dans l’eau ? Tu vas voir… c’est quelque chose de complètement différent, ce baigner sans maillot. »
La main dans la main, ils se levèrent et marchèrent vers l’eau. Après s’être accroupis pour se mouiller complètement, ils plongèrent sous l’eau et réjouissaient de la sensation de l’eau qui glissait le long de leurs corps. Se mettant debout dans l’eau qui leur montait jusqu’à la taille, ils allaient s’exclamer comment merveilleux c’était quand la lune est sortie de derrière des nuages.
« Que faites-vous ici après le couvre-feu ? »
Les deux jeunes pivotèrent sur place ; ce fut Jennifer, la monitrice-en-chef, debout les pieds dans l’eau, toute nue.
« Venez, rapprochez-vous de la rive… je ne vous mordrai pas. »
Voyant que les deux jeunes avaient peur et avaient l’air gênés et coupables, Jennifer décidé que la première chose serait de les calmer. « Tenez, allez chercher vos vêtements et venez avec moi dans ma cabane ; nous allons en parler par-dessus des tasses de chocolat chaud. Non, inutile de vous habiller ; ce serait quasi impossible tandis que vous êtes encore mouillés. As-tu une serviette, Linda ? Non ? Donnes-moi une seconde et tu pourrais te servir de la mienne pour te couvrir. »
Se dirigeant rapidement vers sa serviette et robe de chambre, elle offrit la serviette à Linda tandis qu’elle enfila sa robe de chambre et que Tom se couvrit avec la couverte. « Bon, allons-y tout doux ; nous ne voulons pas ameuter tout le camp. »
Avec Jennifer en tête, ils marchèrent rapidement mais en silence vers sa cabane. Aussitôt rentré, elle ouvrit les lumières et fit le tour pour baisser les stores, puis retira sa robe de chambre et l’accrocha près de la porte. « Installez-vous ; je vais mettre de l’eau à bouillir. Allez, assoyez-vous. Tu peux laisser tomber la couverte ; t’a l’air d’avoir une tente sur la tête. Linda, voudrais-tu m’introduire à ton ami ? »
« Jennifer, voici Tom ; c’est mon meilleur ami. »
« Bon, Tom, moi, je m’appelle Jennifer. Tu devrais être extrêmement fier que Linda t’appelle son meilleur ami ; je l’ai toujours connu comme une fille plein de bons sens qui ne parle pas à la légère. Pourquoi ne pas laisser tomber la couverte et t’asseoir et Linda, si toi aussi tu préfères être nue, vas-y et nous pourrions faire connaissance.
« D’accord. »
« Juste comme ça ?, Pas de ‘Laisse-moi y penser’ ni rien ? »
« Bien… si ça te fait plaisir, » taquina-t-elle, « je pourrais ajouter ‘ça me fera grand plaisir’ mais oui, je suis sérieuse. »
« Fantastique ! Merveilleux ! Parfait ! » Et Tom repartit pour la salle à dîner en courant tandis que Linda, le sourire aux lèvres, suivit à un rythme plus soutenue.
Cet après-midi-là, Tom plana. Lors de partie de balle-molle, quand ce fut son tour au bâton, il ferma ses yeux et donna un gros coup et fut le premier surpris quand il ait connecté. Ce furent les cris de ces coéquipiers qui le réveillèrent et ce n’était qu’à ce moment-là qui réalisa ce qu’il a fait ; un triple avec deux points produits. Il aurait peut-être pu accomplir un coup de circuit aussi s’il avait parti aussitôt qu’il avait frappé mais qu’importe. Quand la partie fut terminée, son équipe avait accumule trois points d’avance. Ce fut un excellent après-midi.
Le souper et la douche passèrent sans que Tom fût conscient de leur passage. Tandis qu’il fut couché dans son lit, les yeux grands ouverts, attendant que les minutes incroyablement longues passent comme de la mélasse en plein hiver ; il tripotait la couverte qu’il emporterait avec lui. Enfin, ce fut l’heure. Sortant du lit, il passa la couverte par-dessus les épaules comme s’il allait au bloc sanitaire et qu’il avait froid. Dehors, il resta dans les endroits plus sombres, dépassant les cabanes, évitant le terrain de sport jusqu’à atteindre le lac près de l’endroit où il avait demandé Linda de le rencontrer. Regardant sa montre, il vit qu’il était d’avance alors il s’installa pour attendre.
« Allo, Tom. »
Tom sursauta et se tourna. Linda se trouva derrière lui et était déjà déshabillée.
« Calvaire, Linda, tu m’as fait une peur bleue. »
« Je suis désolée. Aimerais-tu parler avant ou est-ce qu’on y va ? »
« Bien, je préférerais parler mais puisque tu es déjà nue, je ne crois pas que ce serait juste si moi, je reste habillé. Où as-tu laissé tes vêtements ? »
« Par là-bas ; il y a une petite clairière derrière ces arbustes où personne ne nous verrait. »
« D’accord, allons-y. Pourrais-tu tenir ma couverte pendant que je me déshabille ? » Après lui avoir sonné sa couverte, il ôta son tee-shirt et, arrivé à l’endroit où Linda avait laissé ses vêtements, il baissa ses shorts et enleva ses sandales. Puis, prenant un grand respire, prit son sous-vêtement et le poussa jusqu’aux chevilles. Étirant un bras vers Linda, il se tint à son épaule pendant qu’il dégagea ses pieds et l’envoya sur la pile.
« Voilà, » dit Linda, « je savais que tu en étais capable. »
« Pourrions-nous nous assoir, là, un à côté de l’autre, pour un bout ? »
Comprenant que Tom avait besoin de renforcer son courage, elle accepta et ils s’assirent, l’un contre l’autre, le bras de Tom entourant ses reins tandis que Lisa avait son bras appuyé sur l’épaule de Tom. Tom lui raconta le livre qu’il avait lu et comment il avait fantasmé que les deux étaient à se réchauffer dans le même sac de couchage. « C’était un tellement bon fantasme que cela m’a donné le courage de te demander d’aller te baigner à poil avec moi. »
« Tu sais que je t’aime beaucoup et que je ne ferai jamais rien pour te blesser, n’est-ce pas ? »
« Oui, je le sais ; c’est pour ça que j’ai décidé de participer à l’excursion. J’ai pensé que n’importe quoi tu ferais pour aider quelqu’un devrait être quelque chose de bon. »
« Es-tu prêt pour aller dans l’eau ? Tu vas voir… c’est quelque chose de complètement différent, ce baigner sans maillot. »
La main dans la main, ils se levèrent et marchèrent vers l’eau. Après s’être accroupis pour se mouiller complètement, ils plongèrent sous l’eau et réjouissaient de la sensation de l’eau qui glissait le long de leurs corps. Se mettant debout dans l’eau qui leur montait jusqu’à la taille, ils allaient s’exclamer comment merveilleux c’était quand la lune est sortie de derrière des nuages.
« Que faites-vous ici après le couvre-feu ? »
Les deux jeunes pivotèrent sur place ; ce fut Jennifer, la monitrice-en-chef, debout les pieds dans l’eau, toute nue.
« Venez, rapprochez-vous de la rive… je ne vous mordrai pas. »
Voyant que les deux jeunes avaient peur et avaient l’air gênés et coupables, Jennifer décidé que la première chose serait de les calmer. « Tenez, allez chercher vos vêtements et venez avec moi dans ma cabane ; nous allons en parler par-dessus des tasses de chocolat chaud. Non, inutile de vous habiller ; ce serait quasi impossible tandis que vous êtes encore mouillés. As-tu une serviette, Linda ? Non ? Donnes-moi une seconde et tu pourrais te servir de la mienne pour te couvrir. »
Se dirigeant rapidement vers sa serviette et robe de chambre, elle offrit la serviette à Linda tandis qu’elle enfila sa robe de chambre et que Tom se couvrit avec la couverte. « Bon, allons-y tout doux ; nous ne voulons pas ameuter tout le camp. »
Avec Jennifer en tête, ils marchèrent rapidement mais en silence vers sa cabane. Aussitôt rentré, elle ouvrit les lumières et fit le tour pour baisser les stores, puis retira sa robe de chambre et l’accrocha près de la porte. « Installez-vous ; je vais mettre de l’eau à bouillir. Allez, assoyez-vous. Tu peux laisser tomber la couverte ; t’a l’air d’avoir une tente sur la tête. Linda, voudrais-tu m’introduire à ton ami ? »
« Jennifer, voici Tom ; c’est mon meilleur ami. »
« Bon, Tom, moi, je m’appelle Jennifer. Tu devrais être extrêmement fier que Linda t’appelle son meilleur ami ; je l’ai toujours connu comme une fille plein de bons sens qui ne parle pas à la légère. Pourquoi ne pas laisser tomber la couverte et t’asseoir et Linda, si toi aussi tu préfères être nue, vas-y et nous pourrions faire connaissance.