roger a écrit :Je me demande si à la place de campings naturistes, nous ne devrions pas plutôt privilégier des "maisons naturistes" au centre-ville des grandes agglomérations comme Montréal, Québec, etc.
Une recherche Google pour un B&B naturiste me donne que le NuZone, une maison victorienne dans le village gai, exclusivement pour hommes, sans commodités extérieures.
Dans la section "Photos naturistes du jour" page 158 en date du 31 mai (et de nouveau le 2 juin), on peut observer deux photos prises sur un toit à Paris avec la Tour Eiffel en arrière-plan. La photo du jour précédent, il semble s'agir d'une activité du groupe "The Outdoor Co-ed Topless Pulp Fiction Appreciation Society", établie à New York. En lisant leur site web, qui ramasse une tonne de photos, en plus de profiter d'un après-midi à Central Park sans le haut, par beau temps, il y a le toit d'un petit hôtel dans Chelsea qui est vêtements-optionels (la clôture blanche-et-orange en fait sa distinction), équipée de quelques commodités dont des chaises longues, petite piscine et un douche extérieure, qu'elles utilisent sporadiquement, par exemple en avril/mai et en septembre/octobre, l'accès étant réservée qu'aux clients, l'organisatrice n'a qu'à louer une chambre.
Voir par ici :
https://toplesspulp.com/2018/06/17/the- ... -york-city/
Hé bien, j'ai lancé la proposition plus tôt cette semaine sur le forum de la Fédé, on devrait trouver un toit avec commodités quelque part au centre-ville de Montréal qu'un groupe de naturistes pourrait réserver/utiliser sporadiquement, avec un court préavis, selon la température.
Au printemps en avril et mai, on pogne quelques journées où le mercure passe le 20°C, mais la marée est trop haute pour aller à la plage, dont Okapulco où c'est peuplé de maringouins, sans oublier toute la préparation : le transport, les équipements de plage, apporter de la bouffe et de la boisson, pour quelques heures d'ensoleillement. Un "toit" au centre-ville prêt à nous accueillir serait idéal.