Les Amis Naturistes Forum

Ces photos me rappellent ma première fois en tant que nudiste. Mon frère avait acheté une petite ferme et j’étais allé l’aider à arranger son terrain. C’était toute une première pour moi. J’avais 16 ans (j'en ai 69 aujourd'hui). Je n’avais jamais fait de nudisme, mais en plus je n’avais jamais vu une femme nue. Ma belle-sœur a été la première. Mais je devais avoir un esprit sain déjà à l'époque puisque je trouvais cela très naturel de sarcler et de biner en état de nature.

J'aimerais bien avoir cette chance d'avoir des connaissances qui ont une fermette, où je pourrais aller y passer une journée de temps en temps en habit de naissance.

Donner un coup de main à des amis et qu'on passe tous la journée au naturel, WOW

Amiel a écrit :J'aimerais bien avoir cette chance d'avoir des connaissances qui ont une fermette, où je pourrais aller y passer une journée de temps en temps en habit de naissance.

Donner un coup de main à des amis et qu'on passe tous la journée au naturel, WOW

Je n'ai jamais très bien compris le naturisme au Québec : quelqu'un a créé une fédération, mais il n'existe aucune association (à part le groupe de Québec récemment fondé). C'est comme si l'on avait voulu créer une maison en commençant par le toit sans construire les fondations ou même les murs. C'est une bonne manière de contrôler toute velléité d'indépendance. Cette situation me fait penser à l'Église romaine sauf que le naturisme québécois attend encore son Luther ou son Calvin et j'ai l'impression qu'il va attendre encore longtemps.
Pourquoi je parle de cela ? C'est que Albert Lecoq qui est une figure majeure du naturisme en Europe était un grand démocrate. Il a pensé qu'avant de fonder une fédération, il fallait réunir les naturistes dans des structures plus petites à l'échelle humaine : Pour lui, on devait avoir dans chaque ville moyenne de France une association naturiste. Les "clubs du soleil" sont éparpillés dans chaque département de l'hexagone.
Je suis né près de l'un d'eux. Les membres forment une association sans but lucratif d'une soixantaine de membres, mais ils sont beaucoup plus nombreux à participer aux activités. Ils ont acheté une fermette de quelques hectares (entre 5 et 10 hectares). Ils ont vendu les terres cultivables. Ils ont gardé le boisé et les bâtisses. Le tout est financé par toutes sortes d'activités (piscine, bazar, repas, etc...). Contrairement aux grandes structures naturistes appartenant à des propriétaires privés, les membres se connaissent tous et se soutiennent. Ils acceptent les personnes seules, car bien souvent ce sont ces dernières qui participent le mieux aux corvées.
J'ai l'impression que l'Amérique du Nord est très individualiste. Voilà mon cher Amiel ce qui manque à Montréal. Pourtant, j'en suis sûr que vous pourriez trouvrer plus de soixante membres pour démarrer une telle association. Il suffit de trouver un "Albert Lecoq" parmi vous.

Mon chère Roger quand la FQN a été fondé il avait plusieurs petit regroupement de naturiste, qui sous la supervision de la FQN ses regroupé sous des associations régional.

Mais avec le temps les bénévoles des ses associations ont démissionné et n’ont pas eu de relève et ses sous associations se sont dissoute. Il ne manque que quelques bénévoles pour qu’ils puissent renaitre.

Michel Samuel a écrit :Mon chère Roger quand la FQN a été fondé il avait plusieurs petit regroupement de naturiste, qui sous la supervision de la FQN ses regroupé sous des associations régional.

Mais avec le temps les bénévoles des ses associations ont démissionné et n’ont pas eu de relève et ses sous associations se sont dissoute. Il ne manque que quelques bénévoles pour qu’ils puissent renaitre.

Tu analyses très bien le problème. Les bénévoles n’ont sans doute pas apprécié le style papal de « supervision de la FQN ». Je connais plusieurs de ces bénévoles qui « ont démissionné ».